De Saint-Tropez à la Ciotat
La suite ensoleillée d’un voyage provençal
Helloo les amis !
Voici tant attendu (je l’espère), la deuxième partie de mon récit sur notre road trip sur la Côte d’Azur en voiture électrique.
Saint-Tropez
Après notre courte halte à Saint-Raphaël,
nous avons repris la route en direction de Saint-Tropez, cette ville emblématique du Sud de la France qui fait rêver tant de voyageurs. Rien qu’à l’entrée, on ressent déjà cette atmosphère si particulière : le mélange du glamour, de la mer et de la douceur du Sud.
Une fois arrivés, nous avons vite compris pourquoi Saint-Tropez attire autant de monde. Les rues étaient animées, les terrasses pleines et le port débordait de vie. Malgré la foule, nous avons pris le temps de flâner le long du port, fascinés par la rangée interminable de yachts et de voiliers. Le va-et-vient des bateaux et les couleurs éclatantes des façades rendaient la promenade particulièrement agréable, même sous un ciel un peu voilé.
Sur le port, nous sommes tombés sur un petit marché d’artisans et d’artistes locaux. Certains exposaient des toiles absolument magnifiques. C’était un moment paisible au milieu de l’effervescence, un rappel du côté artistique et authentique de Saint-Tropez.
En poursuivant notre balade, nous avons découvert la plage de la Glaye, une petite crique cachée en plein cœur de la ville. Bordée de maisons colorées et bercée par le bruit des vagues, elle dégage une ambiance à la fois authentique et chaleureuse, presque intime malgré la proximité du centre. C’est une belle surprise, un coin un peu à part où l’on peut s’échapper quelques instants du tumulte.
Avant de repartir vers notre prochaine étape, impossible de ne pas passer par l’incontournable gendarmerie de Saint-Tropez, rendue célèbre par les films cultes. Un passage obligé, un brin nostalgique, qui clôturait parfaitement notre visite de cette ville mythique.
Saint-Tropez, même si elle peut sembler touristique, garde un charme indéniable. Entre son port animé, ses petites ruelles et ses trésors cachés, elle incarne à merveille l’esprit de la Côte d’Azur.
Gassin
Moi qui ne connaissais pas du tout la Côte d’Azur et ses paysages,
j’ai été agréablement surprise par la beauté de Gassin. Loin du tumulte des stations balnéaires et du bruit des plages, ce petit village perché dans les terres offre un tout autre visage de la région. Ici, pas de foule ni de klaxons, seulement le chant des cigales, la douceur de l’air méditerranéen et une vue à couper le souffle sur les collines verdoyantes et les plaines qui s’étendent à perte de vue.
Nous avons commencé la journée en grimpant jusqu’au point le plus haut du village pour profiter d’un brunch avec une vue imprenable. Installés en terrasse, un café à la main, nous avons contemplé ce paysage paisible où se mêlent nature et pierre ancienne. Ce moment suspendu donnait déjà le ton de la journée : lenteur, détente et émerveillement.
Après le repas, nous avons décidé de redescendre tranquillement vers le parking, sans réel itinéraire, simplement en nous laissant guider par les ruelles étroites. À chaque détour, une façade fleurie, une porte en bois colorée ou un balcon en fer forgé attirait notre regard. Le village semble figé dans le temps, mais dégage une harmonie apaisante, presque méditative.
Les ruelles, sobres et minimalistes, renforcent cette atmosphère de sérénité. On y ressent une certaine authenticité, comme si Gassin avait choisi de préserver son âme plutôt que de se plier au rythme effréné du littoral. C’est ce qui rend ce lieu si particulier : un havre de paix perché entre ciel et terre, où l’on prend le temps de respirer et de simplement profiter de l’instant présent.
Cavalaire-Sur-Mer
Cavalaire-sur-Mer était une étape que j’attendais avec impatience.
Mon chéri connaît très bien la ville pour y avoir séjourné plusieurs fois avec ses amis, et il avait hâte de me la faire découvrir à son tour. Grâce à lui, j’ai pu explorer Cavalaire à travers ses yeux, en visitant les endroits qu’il affectionne tout particulièrement.
Nous sommes arrivés en fin de matinée, ce qui nous a permis de poser la voiture et de profiter pleinement de la journée, d’autant plus que nous avions prévu d’y passer la nuit. Nous avons commencé par une balade dans les rues ensoleillées du centre, avant de rejoindre un superbe point de vue sur les calanques. Nous ne sommes pas descendus jusqu’à la mer, mais la vue depuis les hauteurs valait largement le détour : les falaises plongeant dans une eau turquoise, le vent léger, et ce sentiment de liberté que seul le bord de mer peut offrir.
De retour en ville, nous avons flâné dans les ruelles animées et pris le temps de parcourir quelques boutiques locales. Mais avant ça, petite pause “pratique” à la laverie : le linge sale commençait sérieusement à s’accumuler ! Nous avions prévu ce moment depuis le départ, pour voyager plus léger et éviter d’emporter trop de vêtements. Une étape simple, mais qui fait aussi partie de l’aventure du road trip.
Le soir venu, nous avons profité de la douceur de l’air en nous promenant le long de la plage. L’ambiance à Cavalaire est jeune, conviviale et légèrement festive, sans jamais être excessive. Nous avons visité le marché nocturne, animé par la musique et les rires, avant de terminer la soirée autour d’une pizza partagée face à la mer. Le bruit des vagues en fond, les pieds dans le sable, nous avons parlé de nos rêves, de nos futurs projets, de tout et de rien. Ce genre de soirée simple, détendue, c’est exactement ce que j’aime dans les voyages : ces moments suspendus où tout semble léger et évident.
J’ai eu un vrai coup de cœur pour Cavalaire-sur-Mer. Sa douceur de vivre, son ambiance décontractée et chaleureuse contrastent agréablement avec le côté plus chic et mondain des grandes voisines comme Saint-Tropez ou Cannes. Nous avons dormi sur place, puis pris un délicieux brunch le lendemain matin avant de reprendre la route, le cœur rempli de beaux souvenirs.
Lavandou
Nous avons passé la matinée au Lavandou,
une escale pleine de charme entre mer et nature. Pour commencer la journée, nous avons emprunté le sentier du Littoral, une balade que j’avais repérée sur les réseaux sociaux et qui m’avait immédiatement séduite. Ce petit chemin, creusé directement dans la roche au bord de l’eau, longe la côte et offre des points de vue absolument magnifiques.
Le temps était parfait : un grand soleil accompagné d’une légère brise marine, juste ce qu’il faut pour rendre la marche agréable. Tout au long du parcours, la mer scintillait à nos pieds, dévoilant des nuances de bleu incroyables. Le sentier est accessible à tous, même aux enfants, ce qui en fait une promenade idéale pour profiter du paysage sans difficulté.
La balade débute au port du Lavandou et s’étend sur environ 3 kilomètres, soit 45 minutes de marche aller-retour, avec plusieurs petites plages sur le chemin si l’envie d’une pause baignade ou bronzette se fait sentir.
De retour au port, nous avons pris le temps de flâner dans les rues du centre-ville, animées et colorées, avant de reprendre la route vers la prochaine étape de notre voyage. Une halte courte, mais douce et dépaysante, qui résume bien l’esprit du Lavandou : simple, ensoleillé et tourné vers la mer.
Saint-Cyr-Sur-Mer
Nous ne sommes restés que peu de temps à Saint-Cyr-sur-Mer,
juste quelques heures passées sur la plage à profiter du soleil et du bruit des vagues. La fatigue commençait à se faire sentir après plusieurs jours sur la route, à seulement deux jours de la fin de notre périple.
Tout au long de ce road trip, nous n’avions jamais vraiment pris le temps de faire une pause. Chaque journée était rythmée par les découvertes, les trajets et les visites, sans véritable moment pour simplement se poser. Revenir à Saint-Cyr-sur-Mer, que nous avions déjà découverte l’année précédente lors d’une visite à la famille, nous a semblé être l’endroit parfait pour souffler un peu.
Connaître déjà un peu la ville nous a permis de relâcher la pression, sans programme précis, juste l’envie de profiter. Allongés sur le sable chaud, bercés par le clapotis de la mer, nous avons savouré ce moment de calme, comme une parenthèse bien méritée avant de repartir vers notre dernière destination.
La Ciotat
Pour notre dernière étape, nous avons posé nos valises à La Ciotat,
et ce fut un véritable coup de cœur ! Nous sommes arrivés en fin d’après-midi et avons passé deux jours sur place, jusqu’au matin du 23 août — le temps idéal pour vraiment découvrir la ville en profondeur.
La Ciotat est surtout connue pour son chantier naval, un élément emblématique du paysage portuaire. Certains trouvent qu’il dénote un peu avec le charme de la côte, mais personnellement, je l’ai trouvé fascinant. Avec ses immenses structures et ses grues monumentales, il m’a fait penser à un garage géant à ciel ouvert. Ce chantier fait partie intégrante de l’identité de la ville, il raconte son histoire et participe encore aujourd’hui à sa vitalité.
Dès notre arrivée, nous avons profité de la fin de journée pour nous balader sur le port, baignés dans une ambiance chaleureuse et animée. Le marché nocturne, immense et coloré, offrait déjà un bel aperçu de l’atmosphère conviviale de La Ciotat.
Le lendemain, nous avons commencé la journée avec un petit déjeuner face au port, les yeux perdus dans les reflets du soleil sur l’eau. Puis, direction le centre-ville pour une balade dans les ruelles commerçantes… et, bien sûr, pour ma quête quotidienne : trouver un matcha !
Ceux qui me connaissent savent que je suis une grande addict du matcha — et laissez-moi vous dire que celui du Café Acacia est un vrai bijou. Ce lieu est un coup de cœur absolu : à la fois concept store (avec bijoux, accessoires et déco) et coffee shop cosy où l’on peut s’installer pour savourer sa boisson accompagnée de petites douceurs. L’ambiance y est douce, lumineuse et inspirante. Si vous passez par La Ciotat, je vous le recommande les yeux fermés !
Nous avons ensuite poursuivi notre promenade dans les rues commerçantes remplies de petites boutiques indépendantes, de couleurs et de bonne humeur. Ces matinées “shopping” dans des villes pleines de charme font partie de mes moments préférés en voyage : discuter avec les commerçants, découvrir de nouvelles ruelles, et repartir avec quelques souvenirs qui sentent bon l’été.
L’après-midi, place à l’aventure ! Nous avions réservé une sortie en canoë de trois heures avec Expenature — une première pour mon chéri, mais pas pour moi, car j’en ai souvent fait en famille pendant nos vacances.
La location nous a coûté 28 € par personne, pour une expérience en totale autonomie. Et quelle expérience ! L’eau était d’une clarté incroyable, les falaises plongeaient dans une mer turquoise, et le soleil rendait chaque instant magique. Un moment à deux aussi sportif que romantique.
En fin de journée, changement d’ambiance : direction la convention de tatouage organisée en ville. Ceux qui ont lu mon article sur Amsterdam savent que j’ai pour habitude de me faire tatouer un petit motif dans chaque destination importante — un souvenir indélébile de mes voyages. Cette fois, j’ai craqué pour un flash d’un petit chat sur mon bras gauche, un projet que j’avais en tête depuis longtemps. L’occasion parfaite s’est présentée, et je n’ai pas hésité !
Pour clôturer cette belle journée, nous avons dîné au restaurant La Vague Fondue, situé sur le port. Nous avons adoré l’ambiance familiale et détendue, et la serveuse qui s’est occupée de nous était adorable, pleine d’humour et de bons conseils.
En dessert, impossible de résister à une glace chez Amorino (un classique !), dégustée en déambulant sur le marché nocturne que nous n’avions pas eu le temps d’explorer entièrement la veille. Nous en avons profité pour dénicher les derniers souvenirs de notre road trip, avant de passer une dernière nuit dans la voiture — un rituel devenu presque attendrissant à force d’habitude.
Le lendemain matin, il était déjà temps de repartir. Avant de reprendre la route vers Dijon pour retrouver nos familles, nous avons fait une dernière halte au Café Acacia — matcha pour moi, café pour monsieur — histoire de prolonger encore un peu cette atmosphère douce et inspirante. Puis, le cœur un peu serré mais rempli de souvenirs, nous avons pris la route du retour, bouclant ainsi un road trip inoubliable sur la Côte d’Azur.
🌊 Activités & visites à faire sur la Côte d’Azur
La Côte d’Azur regorge d’activités pour tous les goûts : entre mer, nature, découverte et farniente, il est impossible de s’y ennuyer ! Voici quelques expériences que je vous recommande vivement si vous prévoyez de découvrir la région.
- 🛶 Faire du canoë en mer
Si vous aimez les sensations douces et les paysages à couper le souffle, le canoë en mer est une activité incontournable. Pagayer sur une eau turquoise, longer les falaises et découvrir des criques inaccessibles depuis la terre, c’est un pur moment de liberté. C’est aussi une très belle façon d’admirer la Côte d’Azur sous un autre angle, en prenant le temps de profiter du calme et du bruit des vagues.
🌿 Se balader sur le sentier du littoral au Lavandou
Pour les amateurs de marche et de beaux panoramas, le sentier du littoral au Lavandou est une véritable pépite. Ce petit chemin creusé dans la roche longe la mer et offre des points de vue magnifiques tout au long de la balade. Facile d’accès et agréable à parcourir, il permet de s’arrêter sur de petites plages cachées pour une pause baignade ou pique-nique. Une promenade idéale pour profiter pleinement du charme méditerranéen.
- 🧺 Découvrir les marchés locaux
Impossible de passer sur la Côte d’Azur sans flâner dans ses marchés colorés ! Entre les étals remplis de fruits gorgés de soleil, les produits artisanaux, les fleurs et les spécialités locales, chaque marché a sa propre ambiance. C’est un moment que j’adore : discuter avec les commerçants, goûter des produits du coin, respirer les odeurs de lavande et d’olives… une immersion totale dans la vie du Sud.
🚤 Explorer les Gorges du Verdon en bateau
Un peu plus dans les terres, les Gorges du Verdon offrent un tout autre décor, mais tout aussi impressionnant. Louer un bateau électrique ou un pédalo pour naviguer entre les falaises vertigineuses est une expérience magique. L’eau y est d’un vert éclatant, et la tranquillité du lieu contraste parfaitement avec l’animation du littoral. C’est une parenthèse nature apaisante, parfaite pour déconnecter et se ressourcer.
Une expérience inoubliable 🚙✨
Moi qui n’avais encore que peu voyagé, je n’avais jamais connu une expérience comme celle-ci. Partir pour un road trip, dormir dans la voiture, improviser chaque jour… tout cela avait quelque chose d’excitant, mais aussi d’un peu effrayant. Je dois bien avouer qu’au moment du départ, le stress était au rendez-vous ! 😅
J’avais peur de ne pas apprécier cette nouvelle façon de voyager, qu’il arrive quelque chose à la voiture, de ne pas trouver d’endroit où dormir légalement, ou encore de manquer de point d’eau pour se doucher ou pour les toilettes.
Mais finalement, toutes ces inquiétudes se sont vite dissipées. Nous nous sommes rapidement adaptés à ce mode de vie nomade et avons trouvé notre routine du soir : installer notre campement, ranger l’essentiel, préparer nos affaires pour la nuit… Ces petits gestes sont vite devenus des rituels rassurants.
Pour nous faciliter la vie, nous avons utilisé tout au long du voyage l’application Park4Night, qui répertorie les lieux où il est possible de stationner pour la nuit en toute tranquillité. Une vraie pépite pour les voyageurs sur la route ! Nous avons payé l’application le temps de notre road trip pour être sûr d’avoir toutes les informations importantes, c’est-à-dire 2€ le mois.
Voyager en voiture électrique ⚡
Pour ajouter un peu de défi à cette aventure, nous avons fait ce road trip avec la voiture électrique de mon chéri. Cela demandait forcément un peu plus d’organisation : anticiper les trajets, surveiller la charge de la batterie, trouver des bornes de recharge à prix raisonnable… Heureusement, la Côte d’Azur est plutôt bien équipée.
À chaque arrêt, même court, nous en profitions pour brancher la voiture et récupérer quelques kilomètres d’autonomie. Nous faisions toujours en sorte d’avoir assez de batterie pour atteindre la prochaine destination avant de chercher un lieu où passer la nuit. Finalement, cela s’est révélé plus simple que prévu et a même ajouté un petit côté stratégique à notre voyage !
Les imprévus du voyage 🔧
Malgré une belle organisation et aucune grosse galère, deux petits imprévus sont venus pimenter l’aventure.
Le premier est survenu en arrivant à Monaco : une crevaison lente. Nous avons regonflé le pneu une première fois, pensant à un souci passager, mais la pression continuait de descendre. Après quelques recherches, nous avons trouvé un produit à injecter dans le pneu pour combler le trou. Heureusement, cela a parfaitement fonctionné et nous n’avons plus eu de problème par la suite.
Le second incident est arrivé le lendemain matin, alors que nous dormions sur une aire de repos entre Monaco et Cannes. Au moment de repartir, impossible de démarrer la voiture. Pourtant, la batterie principale était bien chargée ! Après quelques minutes d’incompréhension, de recherches sur Internet et de consultation du manuel, nous avons découvert qu’une voiture électrique possède deux batteries :
- une grande batterie, celle qui alimente le moteur (l’équivalent du réservoir d’essence) ;
- et une petite batterie de 12 volts, utilisée pour les accessoires comme la musique, la glacière ou la recharge des appareils.
La veille, nous avions laissé le contact longtemps pour maintenir la fraîcheur de la glacière et recharger nos téléphones… Résultat : la petite batterie était complètement déchargée, ce qui bloquait le démarrage. Heureusement, la solution était simple : trouver quelqu’un avec des câbles et une voiture pour relancer le tout. Une mésaventure vite réglée — et une bonne leçon pour la suite du voyage: toujours prévoir des câbles !
Malgré ces quelques imprévus, cette expérience restera gravée dans ma mémoire. Voyager de cette manière, en toute liberté, avec ses petits défis et ses moments d’improvisation, m’a appris à lâcher prise et à apprécier chaque instant pour ce qu’il est. Une aventure unique, à la fois simple, authentique et profondément enrichissante.
Notre budget de roadtrip
Le tableau détaillé de nos dépenses.
Notre matériel de camping
Si comme nous, vous voulez vous équiper en matériel de camping, je vous mets les principales articles que nous avons acheté chez Decathlon et Amazon. En cliquant sur les images, vous serez dirigé directement vers les boutiques en ligne :
Douche pression solaire
Table pliante
Glacière électrique
Fauteuil pliant
Sac de couchage
Matelas gonflable de voiture
Tente de voiture
🧳 Les choses qui ne nous ont finalement pas servi
Avant de partir, nous avions acheté tout un tas de matériel pour être parés à toutes les situations possibles durant notre road trip. Dans cet article, je vous glisserai les liens vers les différents équipements que nous avions choisis. Cependant, certaines affaires ne sont jamais sorties du coffre… Voici lesquelles, et pourquoi elles se sont finalement révélées inutiles 👇
⛺ La tente à accrocher au coffre de la voiture
Avant le départ, nous pensions que cette tente serait une excellente idée pour dormir confortablement tout en profitant d’un peu plus d’espace. Mais une fois sur place, nous avons découvert qu’il est interdit d’installer une tente dans les lieux publics, sauf sur des emplacements de camping dédiés.
Comme nous avons principalement dormi sur des aires de repos, des parkings publics ou des bords de route, cette tente aurait été difficile, voire impossible, à utiliser. Finalement, nous ne l’avons donc jamais dépliée, et elle est restée bien rangée au fond du coffre.
🍽️ La table et les chaises de camping
En préparant le voyage, nous imaginions déjà nos repas du soir tranquilles face à la mer, installés autour de notre petite table. L’idée était de limiter les restaurants et de profiter de pique-niques plus économiques et conviviaux.
Mais en réalité, cela ne s’est pas révélé si pratique : la glacière ne gardait pas les aliments au frais très longtemps (comme je l’explique dans mon article précédent), et les repas improvisés revenaient parfois presque aussi chers que de manger à l’extérieur. Entre le manque de confort, la fatigue et la logistique, nous avons vite laissé tomber l’idée — les chaises et la table n’ont donc servi… à rien !